USED

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Mardi 27 avril 2010 à 21:54



L'Unique sans est allée. Loin, entre les têtes du peuples. Quand un être cher se détache de toi, tu le regardes s'éloigner, et tu l'aides à grimper la marche supérieur. Qu'ai-je fais, ou plutôt, que n'ai-je pas fait.. La marche se fait trop petite quand trois Princesses s'y installent. L'une d'elle est partie pour que le bonheur prépare sa place. A quoi bon tenter l'impossible quand on à déjà un sourire. Un sourire fixée aux lèvres d'une Belle gamine. -Y'a des gamines qui rêve de rien, que d's'habiller comme des putain-  Ma Gamine à moi, elle ne rêve pas, que de vivre comme une reine avec des draps noires, histoire de ne pas être seule le soir. Le temps des roses rouges est révolu, il faut laisser place au lila noir, redécouvrir le parfum des fleures oubliées et se battre avec le hasard pour ne plus sentir le parfum de LA beauté. Bienvenue au pays oublié, où les rivières ne sont plus pourpre et la poupée blanche à gagné. Elle à emporté le seul poisson qui nageait dans mon eau salée. 

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Samedi 10 avril 2010 à 4:09


.ME AND THE DRAGON.

Ce qu'ils disent, moi je m'en fou, la vie qu'on mène c'est pour les fous. So before I end my day remember, my sweet prince...


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Mardi 6 avril 2010 à 21:13


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- Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dis quel prénom étrange, puis c'est pas vraiment la saison à faire l'amour dans les champs. Moi mon cœur est chrysanthème et mon âme est triste. Quand j'ai vu Marguerite, Marguerite m'a dit « t'approches pas trop de moi » moi j'ai pas écouté tu vois, et j'suis là comme un con à effeuiller les pétales de Tulipe, de Camélia, de Rose et puis de Lila. Quand j'ai vu Marguerite j'me suis dit elle sort d'où celle-la puis c'est quoi c'prénom à la con sorti du fond d'un autre temps et puis moi j'aime pas bien les fleurs et puis j'aime pas ce qui sent bon. J'préfère les pétards aux pétales et un peu la boisson. Marguerite c'est mes coups d'jus, c'est mes coups d'foudre, c'est mes coups de blues, c'est pas vraiment un bon coup mais c'est dans l'mille à tous les coups. C'est comme un parfum de nocturnes qui auraient l'goût des levers du jour, parce qu'elle elle dit jamais « je t'aime », parce que sans équivoque aucune, la liberté au bout des doigts, entre le marteau et l'enclume, c'est la luciole au fond des nuits, c'est comme rouler sans le permis. Marguerite, la Marguerite, la Marguerite. Quand j'ai vu Marguerite, ça m'a fait comme un bras d'honneur, l'insoumission qui dit « je n'ai ni Dieu ni Maître ni qui que ce soit », comme un doigt levé bien haut à tous les Dieux, tous les suppôts, c'est l'solidaire des travailleurs puis c'est la liberté du cœur. Quand on va pointer à sa porte, sûr qu'on est tous un peu chômeur, et moi qui suis là comme un con à effeuiller les pétales de Tulipe, de Camélia, de Rose et puis de Lila. Marguerite elle est belle comme un accident de bagnole, comme un poids lourd qui a plus les freins, Marguerite elle est folle et c'est vrai que moi j'aime bien quand elle fait voler les assiettes, quand elle me fait péter les plombs, qu'elle dit qu'elle aime pas mes chansons. Marguerite c'est mes coups d'jus,, c'est mes coups d'foudre, c'est mes coups d'blues, c'est pas vraiment un bon coup mais c'est dans l'mille à tous les coups. C'est comme le parfum de nocturne qui aurait l'goûts des levers du jour. Marguerite c'est mes nuits noires, c'est mes nuits rouges, c'est mes nuits blanches. C'est comme un train, oui, qui s'égare mais qui s'arrête pas dans les gares. C'est la luciole au fond des nuits, c'est comme rouler sans le permis. Marguerite c'est pas la bonne mais putain qu'elle est bonne ! Presque aussi bonne que Marie, en un peu moins putain aussi. J'en ferais bien ma religion, j'en ferais bien mon horizon, c'est sûr que j'peux mourir demain, tant qu'elle m'habite entre ses reins. Elle est comme un bateau d'pirates, comme un chien qui a mal à la patte. Marguerite elle a l'goût d'la mer, elle a la fraîcheur des rivières, elle a l'ivresse de la vodka, la folie de la tequila, elle est un peu Mexicaine, un peu Française aussi.Elle est tout c'qu'on veut qu'elle soit, tous les possibles au bout des doigt. Elle t'emmène d'l'autre côté d'la Terre juste quand elle ouvre les paupières. Marguerite c'est mes coups d'jus, c'est mes coups d'foudres, Marguerite c'est mes coups d'jus, c'est mes coups d'foudre. Marguerite c'est mes coups d'jus , c'est mes coups d'foudre, c'est mes coups d'blues. C'est pas vraiment un bon coup mais c'est dans l'mille à tous les coups. C'est la luciole au fond des nuits, c'est comme rouler sans le permis. Marguerite elle est belle comme un accident de bagnole, comme un poids lourd qui a plus les freins, Marguerite elle est folle et c'est vrai que moi j'aime bien quand elle fait péter les assiettes, quand elle me fait péter les plombs, qu'elle dit qu'elle aime pas mes chansons. -

Lundi 5 avril 2010 à 22:56


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Y a une époque on écoutait les clash, y a une époque volutes dans les cafés, y a une époque on était Solidaire. I live by the river. Y a une époque on était rouge au cœur, ouais sans parti mais partisans de l'âme, y a une époque on était bleu des flammes. I live by the river, I live by the river. Uniformisées nos éducations toujours entre le blé et le pognon, les mômes ne rêvent plus de marcher sur les lunes, ils rêvent de savoir comment s'faire de la thune. Y a une époque les filles avaient le poing levé.. aujourd'hui c'est plutôt culotte baissée. Quand je s'rai grande moi j'srai poupée gonflable, pour des millions à se branler sur mon âme sur la toile. Y a une époque on rêvait d'autre chose, autre chose que des dieux des communautés. Aujourd'hui c'est tous différents dans la même merde, aujourd'hui c'est chacun sa gueule et j't'emmerde. Y a une époque on avait feu des idées, y a une époque on osait liberté. Aujourd'hui on ose plus que sauver son cul en marchant sur celui d'à côté. Y a une époque Paris c'était Paris, y a une époque les filles étaient jolies, y a une époque quoi te dire, on rêvait, y a une époque nos luttes, dans les cafés. En cendres au fond d'un cendrier, bébé y a quelque chose de louche toi tu rentres plus dans les bars, t'es partie dans la fumée. Quand on se partageait la flamme, toi et moi, de bouche en bouche. Et nos bouches orphelines qui ont plus rien à sucer qu'à mouiller dans le vide bébé tu m'as laissé tout seul. Tu sais me manqueront toujours ces nuits où tu disais allume-moi, allume-moi, fais moi venir entre tes lèvres et puis brûler à planer jusqu'à mourir dans ta bouche jusqu'à mourir dans la bouche, jusqu'à mourir, jusqu'à mourir.. A la lumière de nos amours comme un mégot sur du velours en cendres au fond d'un cendrier, il faudra bien mourir et me finir entre tes lèvres, quand dans le ciel on se soulève contre la gravité du monde, mon amour quand tu tires, quand tu fais brûler l'oxygène, quand tu fais du bien dans la veine, quand tu consommes et tu consumes, quand on parler avec Dieu, quand de nos feux c'est l'extinction de l'incendie à l'horizon, quand j'ai plus le choix que m'éteindre, rallume-moi, rallume-moi, rallume-moi, rallume-moi ! T'es ma nicotine, t'es mon oxygène, t'es mon allumeuse, quand tu creuses ma tombe. Quand je te prends quand je t'allume toi tu veux que j'avale, quand t'as le feu au bout de toi, toi tu dis j'ai pas mal. Dans la violence de nos amours, sûr, en mégot sur du velours nous partirons dans la fumée, mon amour les yeux fermés. Je te respire et tu m'inspires jusqu'à nos expirations.. Où allons-nous, le savons-nous, non sûrement pas en France. Mon amour dans les lieux publics on a viré délinquance, finies les soirées enfumées et les gitanes qui dansent .
Le coeur remplit de ces épines empoisonnées. Le sang coule bleu, ses yeux dégoulinent, oui la couleur s'estompe.. mais leur éclat reste le même, après tout, je l'aime non?! La gorge pleine de son, la musique nous berce puis le poison disparaît grâce aux pulsations. Les pulsations de son coeur qui m'appellent quand le sourire s'en va ! La Belle me regarde avec son même regard. ONE YEARS, ONE GIRL, ONE LOVE.. Pourquoi le futur est si important quand il s'agit d'elle. Mes yeux ne sont pas entrain de regarder la femme de mes rêves, mais la femme de ma réalité. Elle est celle qu'elle dit être, elle est la et elle ne triche pas. Babe, si tu veux fermer les yeux sur moi et tenter de faire le grand saut, essaye plutôt le grand plongeoir de la piscine. Au bord des marées de sels, sa main dans la mienne, je regarde la Demoiselle dans les yeux. Elle n'y voit rien, moi non plus.. l'amour ébloui, le vent m'emporte et elle aussi. Pourquoi son sourire me fait tellement de mal. Le ciel pleure et moi aussi je crois. Chacune des cordes de ma guitare m'arrache les doigts, ses mots à elle m'arrache le coeur. (GO AWAY WITH A BIG JET PLANE)




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