USED

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Jeudi 25 avril 2013 à 2:21

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Tu m'auras appris beaucoup de choses et fait découvrir un amour que je ne soupçonnais pas d'exister. Peut importe que l'on se parle ou non, peut importe que l'on se voit ou pas, car je ne cesserai jamais de penser à toi. A chaque fois que la vie me permettra de passer un moment avec toi, la magie réopérera, et ce, quel que soit l'endroit.
 

Lundi 8 novembre 2010 à 21:24

Est-ce que tu penses pouvoir tout arranger ? - J'en doute.. Nos papillons se sont endormis, mais je ne pense pas qu'il mourront un jour. En attendant, "chacune son trou, chacune sa clope." Pourquoi j'ai l'impression de ne rien comprendre ?



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J'ai trébucher sur l'un des nombreux cailloux qu'avait semer ce petit garçon. L'un des cailloux qui lui servait à retrouver le chemin de la maison. Quand j'étais petite, grand père me disait toujours que j'aurai mon petit poisson bleu quand se sera le moment. Ce moment est arrivé. Des petits poissons, j'en ai eu de toutes les couleurs, un rouge pour me faire pleurer, des multicolores pour m'égarer et une jaune pour me faire rêver. Mon bleu est enfin arrivé, et celui là, je ne compte pas laisser une seule ligne de pêche me le prendre. La boîte de chocolat argenté est restée sur le rebord de ma fenêtre, la différence, c'est qu'aujourd'hui je l'ai vidée... Je veux emmener ma douce créature dans les beaux quartiers, lui montrer que quand le bonheur nous sort par les yeux, le coeur sait parler. Une cigarette dans le bec et des basses pour bercer nos nuits. On a ouvert nos yeux, puis on les a refermés. Mais les surprises on aime pas trop ça, et puis attendre.. attendre c'est emmerdant. Alors on a rouvert nos yeux pour jeter un p'tit coup d'oeil. Après tout, personne ne nous l'avait interdit. Maintenant, je n'ose plus les refermer.. Mes yeux ressemblent à des billes avec lesquelles on jouaient quand on était gosses. Parfois, ils sont mouillés, parce que le bonheur, quand y'en à de trop, ben putain faut qu'ça sorte. C'est dans ces moments là que tu me regarde avec cette tête perdue, et que je te rassure en te disants que c'est de joie que je pleure. Puis un jour on s'est sourie, et tout est reparti. Nos yeux, on à hésiter à les rouvrir, puis on à dit FUCK à la surprise ! On les a ouverts, et on a profiter de ce bonheur en puissance. Aujourd'hui, je passe derrière toi pour ramasser tes petits cailloux.. parce que maintenant, le chemin de la maison.. on s'en fou. 



Mercredi 1er septembre 2010 à 19:16

 

Les lépidoptères sont un ordre d'insectes dont la forme adulte est communément appelée PAPILLONS


 

 
Les feuilles se fanent, elles tombent de leurs arbres mais restent vivantes. Elles sont là, à Terre, à nous regarder nous chamailler pour manger le dernier chocolat de la boite argenté que grand père nous à acheter. Maman nous a pourtant dit qu'elle nous en achèterai une nouvelle, néanmoins, la bataille ne cesse de réveiller tout le village. Le soleil rayonne, les papillons sont de nouveaux là. Un jour, une sage demoiselle est venue me montrer sa collection de papillons, et depuis ce jour là, les papillons ne m'ont pas quitté un seul instant. Quelle était belle avec son sourire blanc, ce même sourire qui me criait à tue-tête : "moi aussi je veux devenir astronaute !". Finalement, ni la Belle, ni moi ne voulions devenir astronaute. J'ai compris aujourd'hui que le seul et unique rêve que nous partagions était celui de rester unis à jamais, afin de pouvoir agrandir notre famille de papillons. Je ne laisserai personne arracher les ailes de nos rêves. Parce que ces insectes s'envolent, mais ils rentrent toujours à la maison. Aucun ne manquent à l'appel quand la Belle me souris, encore.. Mais aujourd'hui, elle est partie. Nous avons respectivement retournés nos talons, en emmenant chacun notre part sur nos chemins. Mais quand nos yeux se croisent, les lépidoptères nous rappelles que c'était bon de jouer dans les champs. Ma plus belle rencontre restera inscrite dans chacune des écailles de soies de ces insectes éphémère. Au lieu de tourner complètement nos talons, nos yeux étaient trop curieux pour voir si l'autre allait elle aussi se retourner. . Qu'ai-je bien fait de ne pas m'arrêter de cligner des yeux. Actuellement, de nouveaux papillons envahissent mon ventre. Une nouvelle maîtresse les conduit, et j'espère qu'elle sait où elle les emmènent. Ils se peut qu'un jour vous nous voyez jouer dans les champs avec sa Bête noire et ma nouvelle lionne à plume. C'est loin d'être terminer, l'histoire ne fait que commencer.



 
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Lundi 23 août 2010 à 22:33



" You try at working out chaotic things 
..and why, should I believe myself not you? "



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Le prince, la princesse. Que sais-je.. La belle au bois dormant c'est fait bouffer la chaire pour satisfaire les besoins du maitre. La bête nous à pomper le sang. Un jour on avait tous des rêves.. marcher sur la lune ou voler les passants. Lutter contre la faim ou tourner un porno. Siroter du bon vin sur un fauteuil hors de prix ou t'faire de l'argent facile sur des pigeons qui vont t'acheter ta cam couper à.. on sait même plus, on a arrêté de compter à partir de huit. J'emmerde cette saloperie ambiante qui sallie nos esprit, tous autan qu'vous êtes, avec vos parapluies roses et vos pendentifs assortis. J'emmerde le bonheur des autres qui me rappelle à quel point je suis pathétique. Ces faux sourires cachés derrière l'amour et votre putain d'vie conditionnée depuis mille ans. Il faut jouir de sa jeunesse et non s'enfermer dans sa chambre avec une peluche noire. J'emmerde ces souvenirs qui me rongent mes derniers neurones que la télé ne m'a pas encore bouffée. J'emmerde les blondasses qui, un jour, m'ont demandées l'heure. J'emmerde les poupées de chiffons qui s'écrasent devant mes yeux et qui s'foutent de ma gueule dès que j'ai le dos tourné. J'emmerde cette nana aux cheveux noirs, qui prend un malin plaisir à saloper mon passé. J'emmerde ces fils de pute qui nous crachent sur la gueule parce qu'on a osé les regarder droit dans les yeux. TROUVE UN BOULOT CONNARD ! J'emmerde les flics qui nous interdisent de flinguer des gens sous peine de passer tes 20 prochaines années à te faire prendre dans les douches de taule. On devrait avoir une carte d'adhérent avec un nombre de cadavre autorisé par foyer..J'emmerde la musique classique qui nous a imposée la harpe et d'autre connerie du genre. J'emmerde la Reine qui a embarqué mon rêve sous son aile en me collant un post-it sur le front : "Try Again" ! J'emmerde cette fausse jalousie, qui va avec ce faux sourire et cette fausse couleur de ch'veux, le tout emballé dans un sachet plastique avec un noeud gondolé pour compléter l'idolâtrie. J'emmerde cette auto persuasion de l'oublie, ce passé faussement enterrer pour laisser place au faux bonheur qui essaie de naître. J'emmerde l'amour et tout le baratin qui va avec. Le mode d'emploi pour être heureux, et les étapes à suivre pour rester dans les normes. J'emmerde le mariage parce que de nos jours, mariage = divorce.. 
NON, j't'emmerde toi, triple conne aux tiffs violet. Tu avais toutes les cartes en mains et tu t'es démerdée pour TOUT foutre en l'air ! .. 





Vendredi 11 juin 2010 à 13:46



D’abord, il y a l’aîné. Lui qui est comme un melon, lui qui a un gros nez, lui qui sait plus son nom. Monsieur tellement qu'il boit, tellement qu'il a bu, il fait rien de ses dix doigts mais lui il n'en peut plus. Lui qui est complètement cuit et qui s'prend pour le roi. Qui se saoule toutes les nuits avec du mauvais vin, mais qu'on retrouve le matin dans l'église, il roupille raide comme une saillie. Lui qui est blanc comme un cierge de Pâques puis qui balbutie et qui a l'œil qui divague. Faut vous dire, Monsieur, que chez ces gens-là, on ne pense pas Monsieur. On ne pense pas, on prie ! Et puis, y a l'autre, des carottes dans les cheveux qui ont jamais vu un peigne, qu'est méchant comme une teigne même qu'il donnerait sa chemise à des pauvres gens heureux. Il a marié la Denise, une fille de la ville, enfin d'une autre ville, et que c'est pas fini. Il fait ses p'tites affaires avec son p'tit chapeau, avec son p'tit manteau. Sa p'tite auto qui aimerait bien avoir l'air, mais qui a pas l'air du tout. Faut pas jouer les riches quand on n'a pas les sous.. Faut vous dire, Monsieur, que chez ces gens-là, on n'vit pas, Monsieur. On n'vit pas, on triche ! Et puis, il y a les autres. La mère qui ne dit rien, ou bien n'importe quoi.. et du soir au matin, sous sa belle gueule d'apôtre, et dans son cadre en bois, il y a la moustache du père qui est mort d'une glissade et qui regarde son troupeau. Bouffer la soupe froide, ça fait des grands svlurp. Et puis y a la toute vieille, qui n'en finit pas d'vibrer. On attend qu'elle crève vu qu'c'est elle qui a l'oseille. Et on n'écoute même pas ce que ses pauvres mains racontent. Faut vous dire Monsieur, que chez ces gens-là, on n'cause pas, Monsieur. On n'cause pas, on compte ! Et puis il y a Frida qui est belle comme un soleil et qui m'aime, pareil que moi j'aime Frida.. Même qu'on se dit souvent qu'on aura une maison avec des tas de fenêtres, avec presque pas de murs et qu'on vivra dedans.. Et que si c'est pas sûr, c'est quand même peut-être parce que les autres veulent pas.. Les autres ils disent comme ça qu'elle est trop belle pour moi, que je suis tout juste bon à égorger les chats. J'ai jamais tué de chats, ou alors y a longtemps, ou bien j'ai oublié, ou ils sentaient pas bon.. Enfin ils ne veulent pas. Parfois, quand on se voit avec ses yeux mouillants, elle dit qu'elle partira, elle dit qu'elle me suivra. Alors pour un instant, pour un instant seulement.. moi je la crois, Monsieur. Pour un instant, pour un instant seulement. Parce que chez ces gens-là Monsieur, on ne s'en va pas. On ne s'en va pas ! 


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Dimanche 23 mai 2010 à 14:56



(La réalité est ce qui continue lorsqu'on cesse d'y croire)


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Looking out my bedroom window, see the planes take off from Heathrow, one by one they come and go.. On and on, on and on. I think about the places I'd go, think about this place i call home.. All the shots and all the con, all around , all around. Red light blinking in the twilight, tracing out a path right out of hear and now. Baby baby, I think its time we move on now. Don't you think its quiet around here? Doesn't seem so much to do here? Think back to this time last year.. Good times, good times, good times. Don't you think we've stayed far too long? Don't you think the colour has gone? Get on a plane it can't be wrong.. Moving on, moving on. Baby baby, I think its time we move on now. Dance floors are empty, clubs have all closed down. Nothings going on round here, its time we left town. Got a feeling my love, we've got to get out before it brings us down...




Mardi 27 avril 2010 à 21:54



L'Unique sans est allée. Loin, entre les têtes du peuples. Quand un être cher se détache de toi, tu le regardes s'éloigner, et tu l'aides à grimper la marche supérieur. Qu'ai-je fais, ou plutôt, que n'ai-je pas fait.. La marche se fait trop petite quand trois Princesses s'y installent. L'une d'elle est partie pour que le bonheur prépare sa place. A quoi bon tenter l'impossible quand on à déjà un sourire. Un sourire fixée aux lèvres d'une Belle gamine. -Y'a des gamines qui rêve de rien, que d's'habiller comme des putain-  Ma Gamine à moi, elle ne rêve pas, que de vivre comme une reine avec des draps noires, histoire de ne pas être seule le soir. Le temps des roses rouges est révolu, il faut laisser place au lila noir, redécouvrir le parfum des fleures oubliées et se battre avec le hasard pour ne plus sentir le parfum de LA beauté. Bienvenue au pays oublié, où les rivières ne sont plus pourpre et la poupée blanche à gagné. Elle à emporté le seul poisson qui nageait dans mon eau salée. 

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Samedi 10 avril 2010 à 4:09


.ME AND THE DRAGON.

Ce qu'ils disent, moi je m'en fou, la vie qu'on mène c'est pour les fous. So before I end my day remember, my sweet prince...


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Mardi 6 avril 2010 à 21:13


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- Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dis quel prénom étrange, puis c'est pas vraiment la saison à faire l'amour dans les champs. Moi mon cœur est chrysanthème et mon âme est triste. Quand j'ai vu Marguerite, Marguerite m'a dit « t'approches pas trop de moi » moi j'ai pas écouté tu vois, et j'suis là comme un con à effeuiller les pétales de Tulipe, de Camélia, de Rose et puis de Lila. Quand j'ai vu Marguerite j'me suis dit elle sort d'où celle-la puis c'est quoi c'prénom à la con sorti du fond d'un autre temps et puis moi j'aime pas bien les fleurs et puis j'aime pas ce qui sent bon. J'préfère les pétards aux pétales et un peu la boisson. Marguerite c'est mes coups d'jus, c'est mes coups d'foudre, c'est mes coups de blues, c'est pas vraiment un bon coup mais c'est dans l'mille à tous les coups. C'est comme un parfum de nocturnes qui auraient l'goût des levers du jour, parce qu'elle elle dit jamais « je t'aime », parce que sans équivoque aucune, la liberté au bout des doigts, entre le marteau et l'enclume, c'est la luciole au fond des nuits, c'est comme rouler sans le permis. Marguerite, la Marguerite, la Marguerite. Quand j'ai vu Marguerite, ça m'a fait comme un bras d'honneur, l'insoumission qui dit « je n'ai ni Dieu ni Maître ni qui que ce soit », comme un doigt levé bien haut à tous les Dieux, tous les suppôts, c'est l'solidaire des travailleurs puis c'est la liberté du cœur. Quand on va pointer à sa porte, sûr qu'on est tous un peu chômeur, et moi qui suis là comme un con à effeuiller les pétales de Tulipe, de Camélia, de Rose et puis de Lila. Marguerite elle est belle comme un accident de bagnole, comme un poids lourd qui a plus les freins, Marguerite elle est folle et c'est vrai que moi j'aime bien quand elle fait voler les assiettes, quand elle me fait péter les plombs, qu'elle dit qu'elle aime pas mes chansons. Marguerite c'est mes coups d'jus,, c'est mes coups d'foudre, c'est mes coups d'blues, c'est pas vraiment un bon coup mais c'est dans l'mille à tous les coups. C'est comme le parfum de nocturne qui aurait l'goûts des levers du jour. Marguerite c'est mes nuits noires, c'est mes nuits rouges, c'est mes nuits blanches. C'est comme un train, oui, qui s'égare mais qui s'arrête pas dans les gares. C'est la luciole au fond des nuits, c'est comme rouler sans le permis. Marguerite c'est pas la bonne mais putain qu'elle est bonne ! Presque aussi bonne que Marie, en un peu moins putain aussi. J'en ferais bien ma religion, j'en ferais bien mon horizon, c'est sûr que j'peux mourir demain, tant qu'elle m'habite entre ses reins. Elle est comme un bateau d'pirates, comme un chien qui a mal à la patte. Marguerite elle a l'goût d'la mer, elle a la fraîcheur des rivières, elle a l'ivresse de la vodka, la folie de la tequila, elle est un peu Mexicaine, un peu Française aussi.Elle est tout c'qu'on veut qu'elle soit, tous les possibles au bout des doigt. Elle t'emmène d'l'autre côté d'la Terre juste quand elle ouvre les paupières. Marguerite c'est mes coups d'jus, c'est mes coups d'foudres, Marguerite c'est mes coups d'jus, c'est mes coups d'foudre. Marguerite c'est mes coups d'jus , c'est mes coups d'foudre, c'est mes coups d'blues. C'est pas vraiment un bon coup mais c'est dans l'mille à tous les coups. C'est la luciole au fond des nuits, c'est comme rouler sans le permis. Marguerite elle est belle comme un accident de bagnole, comme un poids lourd qui a plus les freins, Marguerite elle est folle et c'est vrai que moi j'aime bien quand elle fait péter les assiettes, quand elle me fait péter les plombs, qu'elle dit qu'elle aime pas mes chansons. -

Lundi 5 avril 2010 à 22:56


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Y a une époque on écoutait les clash, y a une époque volutes dans les cafés, y a une époque on était Solidaire. I live by the river. Y a une époque on était rouge au cœur, ouais sans parti mais partisans de l'âme, y a une époque on était bleu des flammes. I live by the river, I live by the river. Uniformisées nos éducations toujours entre le blé et le pognon, les mômes ne rêvent plus de marcher sur les lunes, ils rêvent de savoir comment s'faire de la thune. Y a une époque les filles avaient le poing levé.. aujourd'hui c'est plutôt culotte baissée. Quand je s'rai grande moi j'srai poupée gonflable, pour des millions à se branler sur mon âme sur la toile. Y a une époque on rêvait d'autre chose, autre chose que des dieux des communautés. Aujourd'hui c'est tous différents dans la même merde, aujourd'hui c'est chacun sa gueule et j't'emmerde. Y a une époque on avait feu des idées, y a une époque on osait liberté. Aujourd'hui on ose plus que sauver son cul en marchant sur celui d'à côté. Y a une époque Paris c'était Paris, y a une époque les filles étaient jolies, y a une époque quoi te dire, on rêvait, y a une époque nos luttes, dans les cafés. En cendres au fond d'un cendrier, bébé y a quelque chose de louche toi tu rentres plus dans les bars, t'es partie dans la fumée. Quand on se partageait la flamme, toi et moi, de bouche en bouche. Et nos bouches orphelines qui ont plus rien à sucer qu'à mouiller dans le vide bébé tu m'as laissé tout seul. Tu sais me manqueront toujours ces nuits où tu disais allume-moi, allume-moi, fais moi venir entre tes lèvres et puis brûler à planer jusqu'à mourir dans ta bouche jusqu'à mourir dans la bouche, jusqu'à mourir, jusqu'à mourir.. A la lumière de nos amours comme un mégot sur du velours en cendres au fond d'un cendrier, il faudra bien mourir et me finir entre tes lèvres, quand dans le ciel on se soulève contre la gravité du monde, mon amour quand tu tires, quand tu fais brûler l'oxygène, quand tu fais du bien dans la veine, quand tu consommes et tu consumes, quand on parler avec Dieu, quand de nos feux c'est l'extinction de l'incendie à l'horizon, quand j'ai plus le choix que m'éteindre, rallume-moi, rallume-moi, rallume-moi, rallume-moi ! T'es ma nicotine, t'es mon oxygène, t'es mon allumeuse, quand tu creuses ma tombe. Quand je te prends quand je t'allume toi tu veux que j'avale, quand t'as le feu au bout de toi, toi tu dis j'ai pas mal. Dans la violence de nos amours, sûr, en mégot sur du velours nous partirons dans la fumée, mon amour les yeux fermés. Je te respire et tu m'inspires jusqu'à nos expirations.. Où allons-nous, le savons-nous, non sûrement pas en France. Mon amour dans les lieux publics on a viré délinquance, finies les soirées enfumées et les gitanes qui dansent .
Le coeur remplit de ces épines empoisonnées. Le sang coule bleu, ses yeux dégoulinent, oui la couleur s'estompe.. mais leur éclat reste le même, après tout, je l'aime non?! La gorge pleine de son, la musique nous berce puis le poison disparaît grâce aux pulsations. Les pulsations de son coeur qui m'appellent quand le sourire s'en va ! La Belle me regarde avec son même regard. ONE YEARS, ONE GIRL, ONE LOVE.. Pourquoi le futur est si important quand il s'agit d'elle. Mes yeux ne sont pas entrain de regarder la femme de mes rêves, mais la femme de ma réalité. Elle est celle qu'elle dit être, elle est la et elle ne triche pas. Babe, si tu veux fermer les yeux sur moi et tenter de faire le grand saut, essaye plutôt le grand plongeoir de la piscine. Au bord des marées de sels, sa main dans la mienne, je regarde la Demoiselle dans les yeux. Elle n'y voit rien, moi non plus.. l'amour ébloui, le vent m'emporte et elle aussi. Pourquoi son sourire me fait tellement de mal. Le ciel pleure et moi aussi je crois. Chacune des cordes de ma guitare m'arrache les doigts, ses mots à elle m'arrache le coeur. (GO AWAY WITH A BIG JET PLANE)




Mercredi 3 mars 2010 à 19:31


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Extase au monde des merveilles. La nuit tombe et les princesses sortent de leurs cachettes. Leurs yeux nous rongent et les sourires s'explosent contre des bouquets de fleurs. Les épines de la rose s'enfoncent dans nos coeurs saignés, le sang qui coule, celui la, on en redemande encore. La beauté fane, les éclats de rire de ma Demoiselle résonnent dans chacune des plaies. On nous admires, ils l'ont bien dit. Elle me regardes, je lui souris. La Belle se baigne entre deux rivières, l'une d'elle devient pourpre quand j'y trempe mon coeur. Le poison s'évapore à la chaleur de nos corps, lorsque les dents de la Bête s'introduisent dans ma chaire pour goûter à la douce sensation de peur. "Quand je serai partie tu liras mes poèmes. Une autre romantique qui se verra en moi, elle se dira sans doute -oh c'est beau comme elle l'aime- " Mais comment je fais pour m'endormir sans elle moi. Elle est passé à coté de moi. La rebellion de nos larmes, la  mer déborde. Les sourirent se noient au travers de la pâleur de cette poupée de chiffon. Le café noir vibre au son de sa voix, il nous gicle à la gueule puis coule sur ces lèvres rouges. Mon Ange, je me perd dans tes rêves. Faut des pilules pour bander, il en faudrait aussi pour savoir aimer. La décadence à l'état pure. La Douce s'en va dans les bras de la chaire chaude, un signe suffit pour avoir ces roses. Les épines ont été arraché, cette marionnette noire y a pensé. Je m'acculerai de tes larmes quand tes bras me seront ouverts. Tes yeux bleus ne sont plus que noirs quand tu me sourie à travers son visage blanc..


Jeudi 11 février 2010 à 16:53



" NOT IF YOU CARE FOR ME; STAY LITTLE VALENTINE STAY.. EACH DAY IS VALENTINES DAY "
D.Saez



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Son parfum m'envoute, Dieu qu'elle est belle quand elle me sourie à la lumière du jour. Dans mes rêves, un seul claquement de doigts suffit pour l'avoir au creux de mes bras, mais elle, quand je me réveille, elle dit qu'ils sont bien trop froid. La réalité tombe là, sous mes yeux.. Elle est pourtant bien réelle, un rêve si difficile à attraper. Un destin, devoir l'oublier, devoir l'éviter, devoir la détourner.. La vie est bien trop courte pour en arriver à cela. Ce poison qu'elle m'injecte à chacune de ses paroles, l'antidote serai de lui dire, mais la fréquence de ma voix, celle là, elle ne l'entend pas. La fuite, suivre les cons, oui, toujours et encore les cons. S'abstenir de connaître ce bonheur, le remplacer par un véritable mensonge. Jouer un rôle, sourire quand il le faut. Du parfum, le désir que j'aime.. T'étais là, seule au bord du ravin, "On y va ?", toi contre moi, moi contre toi.. Les lèvres empoisonnées, s'unissent les venins, et nous ne faisons qu'un.. J'en est le souffle coupé, et cette crasse qui ne cesse de remonter. Assez de me faire éjaculer à la gueule les conneries que me balance le peuple. La vérité ne sort que de la bouche des enfants.. Qu'on m'apporte un môme et qu'il me crache ces niaiserie sans plus attendre. L'amour, je lui chiale à la gueule, mais elle ne répond plus présente. L'acide bouffe nos coeurs, la rage est gagnante.. Quel est ce sourire qui veut dire va t'en ? M'en aller.. Patience ! Où étais-je, quand tu as perdu tout tes rêves. -'Elle' s'endort dans son appartement, sa méche de cheveux qui fout le feu à la cinquième. C'est New York qui a froid et moi aussi je crois, mais de la voir posée là au centre des ombres ; comme le rayon d'un dieu mais d'un dieu sans l'église, dans les cendres d'un feu qui le coeur vous aiguise, comme un chemin de croix mais qui vous souffre pas, comme une apparition. Elle se lèvera bientôt et je serai là avide, on parlera un peu dans le marc du café noir puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay, des embruns aux paupières son âme hallucinée. Je suivrai du regard, gravirai les remparts et dans ses yeux sans fonds où l'on cherche des histoires, j'y entendrai les voix qui nous mènent à la lumière, qui nous mènent à la mer. 'Honey'.. dans les étoiles c'est l'étoile du nord, le chemin infini qui relie l'âme au corps, c'est la beauté de tout ce qu'on ne peut tenir.. l'oxygène à mes nuits, la force des sourires qui file entre les mains, c'est tout ce qu'on ne peut pas expliquer enfin c'est la grâce, oui c'est Dieu.. Et j'y crois? Quand elle danse pour moi, qu'elle me fait sentir plein, qu'elle joue avec mon âme, qu'elle y met son parfum. Quand dans mes intérieurs y'a des brumes à l'aurore, elle me prend dans ses doigts du pourpre, elle fait de l'or. Et c'est là que je vais loin, loin du chemin des tristes, quand elle m'emporte au fond de ses yeux bien trop clairs, qui ont la couleur d'un Est toujours un peu à l'Ouest.. 'Elle', elle dit que tout va bien. Si tu la croises un jour à la pointe du jour, elle t'emmènera sûr pour te montrer l'amour et ces ombres de chine qui deviennent lumière. Ces vagues toujours qui retournent à la mer, qu'on avait cru perdu, c'est celui qui revient quand ton âme des nues a perdu son chemin. 'Elle', quand elle est là, c'est le chant des marins que tu entends au loin, c'est le dessin d'un sein qui fait oublier ce mal que l'on s'est fait pour rien. C'est pas la fin c'est juste nos destins, c'est un peu comme un don, un tableau italien.. C'est un quatre septembre qui se marie en juin.  Je m'assois à ses hanches, et je regarde grâce, et puis quand je m'y penche sans prendre trop de place, moi je suis la rivière de ses yeux qui lumière. L'oxygène à ma flamme.
You make me smile with my heart.. Yet you're my favourite work of art. When you open it to speak, are you smart?






Lundi 8 février 2010 à 21:01

Qui dit étude dit travail, qui dit taf te dit les tunes, qui dit argent dit dépenses, qui dit crédit dit créance, qui dit dette te dit huissier, oui dit assis dans la merde. Qui dit Amour dit les gosses, dit pour toujours et dit divorce. Qui dit proches te dis deuils car les problèmes ne viennent pas seul. Qui dit crise te dis monde dit famine dit tiers- monde. Qui dit fatigue dit réveille encore sourd de la veille, alors on sort pour oublier tous les problèmes. Et la tu t'dis que c'est fini car pire que ça ce serait la mort. Qu'en tu crois enfin que tu t'en sors quand y en a plus et ben y en a encore! Extasie dis problème les problèmes ou bien la musique, ça t'prends les trips ca te prends la tête et puis tu prie pour que ça s'arrête. Mais c'est ton corps c’est pas le ciel, alors tu t’bouche plus les oreilles. Et là tu cries encore plus fort et ca persiste... Alors on chante. 

L'envie de partir, pour m'éloigner de son poison qu'elle me crache en pleine gueule dans chacun de ses regard.. La beauté de ces yeux m'assomme, l'ampleur que prends son coeur m'écrase contre ce mur de sang. Remember, where was I when you lost all your dreams.. 


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Dimanche 10 janvier 2010 à 15:17



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Regarde, il gèle là sous mes yeux. Des stalactites de rêves trop vieux, toutes ces promesses qui s'évaporent vers d'autres ciels, vers d'autre ports. Mes rêves s'accrochent à tes phalanges, je t'aime trop fort, ça te dérange.. et mes rêves se brisent sur tes phalanges, je t'aime trop fort mon ange.. Mon ange.. De mille saveurs, une seule me touche.. lorsque tes lèvres effleurent ma bouche. De tous ces vents, un seul m'emporte.. lorsque ton ombre passe ma porte.. Mes rêves s'accrochent à tes phalanges, je t'aime trop fort, ça te dérange.. Et mes rêves se brisent sur tes phalanges, je t'aime trop fort mon ange.. Prends mes soupirs, donne moi des larmes.. A trop mourir on pose les armes. Respire encore mon doux mensonge, que sous ton souffle le temps s'allonge.. Et mes rêves s'accrochent à tes phalange, je t'aime trop fort, ça te dérange.. Mes rêves se brisent sur tes phalanges, je t'aime trop fort mon ange. Seuls sur nos cendres en équilibre, mes poumons pleurent, mon coeur est libre.. Ta voix s'efface de mes pensées. J'apprivoiserai ma liberté. Mon ange.


 

Samedi 2 janvier 2010 à 23:38

 C'est sur un air de Tegan & Sara que je vais lâcher mes mots. Mes tympans en sont déjà imbibés.. reste au coeur de cracher sa saleté.. reste au coeur de se nettoyer de son impureté. Days and days, yeah Babe.. Des jours et des putains de jour que j'attend ce moment. Ce moment où l'amour prendra le dessus, ce moment où elle déboutonnera ma chemise sans penser à ELLE, ce moment où, quand elle poseras sa main sur ma peau, qu'elle ne la comparera plus à la sienne.. Promise me the day will come.. Le jour où son sourire voudra dire, je t'aime.. Le jour où je n'aurai plus à lui parler pour qu'elle me comprenne. Days and days, yeah Babe.. Le jour où son coeur ne sera plus divisé entre deux garces qui se battent pour obtenir sa chaleur. Le jour où les deux garces arrêterons de se battre pour l'entendre jouir dans la nuit. Le jour où l'une des deux garces arrivera à mettre sa main si loin qu'elle pourras enfin crier, OUI! Days and days, yeah Babe.. Quand je ferme mes yeux, je sent ces mains caresser mon dos, quand je les rouvrent, je la vois, elle, sans me dire un mot. She know, I don't like to share.. A l'arrière des cafés, au grès des verres de vin, dans le coeur et la beauté.. Pour des coups, la jeunesse est dessous les pavés, elle me passes le join, pour les grandes idées dans le feu de l'ivresse. Y'a (eux) qui me dise: ont y croit. Dire qu'on avaient des reves, rapelle toi. Questions, hésitations, jeunesse. Tout ces verbes futur, qu'on conjuguent au passé. Le manque, la fatigue, attendre. Moi, je n'y comprend rien. Dans le faux, dans le vrai.. Ne me laisse pas, ne me laisse pas. Au milieu de la pièce, théâtre de l'absurde.. Les comment, et les pourquoi n'ont plus de réponse. Dans la beauté du mal.. Dans la beauté du sale. Ces lèvres qui m'appellent, son corps qui m'entraîne, ces mains qui m'entourent, ces yeux qui m'observent. Si ses lèvres sont garnient de sang, les miennes les suceront jusqu'à épuisement. La vie ne se fou pas de nous.. C'est nous qui nous foutons d'elle. Les questions sans réponses se font de plus en plus nombreuses. Le désir est présent, mais il n'est toujours pas sorti pour dire oui. Le pouvoir se fou de nous, l'envie est la, mais la sagesse nous dictes une réponse: non. Aurait-elle raison? Je ne pense pas, il faut rester réaliste, l'amour c'est pour les cons. Les cons qui espèrent être heureux, mais qui au final, reste dans les oubliettes pour oublier la beauté d'une blonde. Des cons qui se bouffent les lèvres pour recracher le sang imbibé du désir mortel. I need her.


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Les balivernes cachés dans mon imagination me force à penser que je vais y arriver. I need to slip my hand into her trouser, so that shout me another name that mine.. and than I understand that everything is finished. Urge for you.. à faire tourner la tête.. "usé pas l'ironie qui tua ma jeunesse.. usé par les promesses, usé par la folie, usé par le dégout, usé d'être incompris(e), de marcher à genoux.." S'exploser, âme ouverte, contre le mur de l'espoir, s'enterrer dans le cimetière des regrets, non, pas cette fois.. plus cette fois. Peut être j'y est cru.. Je sais pas, je sais plus. Te voir de mémoire, les prénoms oubliés.. (LICK YOU UNTIL THAT YOU COME TO ME). Non me dis pas toi, que vivre te fatigue, qu'on fait que passé. Se voiler la face pour avancer plus vite, noyer son coeur dans la crasse pour subsister l'avenir. Se noyer dans les larmes pour cacher une connerie de sourire. "Prend ma main, il n'y a pas d'amour facile.." Je t'emmenerai, loin de tout, je remercierai Dieu de t'avoir fais. Les cigarettes nous consument, et l'alcool nous brûles. Mais je peux plus dormir chaque nuit sans toi.. Y'a plus qu'à  mourir dans tes bras. Si tu veux de moi, si tu veux de nous. un jour. (Turn away girl when you talk to me. Junk nation I'm sick of you. Wish I could put my head in the sand. Information like a cartoon. My gril, my gril, I wanna feel you, fake world my girl you make it real. My girl my girl I wanna feel you, fake world my girl you make me real. BITCH YOU MAKE ME REAL, and when I see you.. Everywhere I turn every time I see their faces around, I feel like I'm just another hollow man lost in the crowd. When you cut yourself up feels like i'm doing it to myself. I wanna smell you, I wanna touch you, I wanna feel you like a wild dog. Fake tits, big lips, mummy buy me a new body. Blow up dolls nylon thongs and french perfume. Liposuction, depilation, hard porn, pop corn, rock hard, implants for graduation.. Fast food hollywood do it cause it feels good. Nip and tuck what the fuck, if you mess up they can cut you up again. Botox, silicone, bad luck you're still alone. Superficial, artificial, you're just a piece of meat yeah, get your pussy on the dance floork. You're empty? Take a pill. Unhappy? Take a pill. You're hungry? Take a pill. Too tired? Take a pill. Can't sleep? Take a pill. Braindead? Take a pill. Can't fuck? Take a pill.)


" Un jour on s'est aimé, et ce jour c'est demain "

Samedi 2 janvier 2010 à 23:37

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Il y a ton sourire qui se lève, c'est comme une lueur d'espoir. Il y a l'ombre et la lumière au milieu notre trajectoire. Il fallait choisir une route, alors on a choisi la pluie acide à s'en bruler le coeur, pourvu que planent les esprit. Il y a tes yeux qui me tuent quand tu me dis que c'est fini, il y a le vent de nos sanglots qui souffle pour une amnistie. Mais rien n'arretera la lutte, rien ne séchera cette pluie, rien ne finira la chute, rien ne finit l'infini. Rien ne desserrera nos mains, rien n'éteindra l'éphémère. Nous forcerons, nous forcerons nos destins, puis nous perceront les mystères. Il y a les lois de l'empire et les trous noirs dans ma mémoire, il y a le meilleur et puis le pire au milieu de notre trajectoire. Combien tu vends ta liberté, dis combien tu vends ta poésie moi j'ai même vendu mon âme au diable.. pour ton sourire.. Puisque tout est aléatoire dans le chao des univers, et puisque insoluble est la réponse et puisque déjà me manque l'air.. Et qu'importe les directions jusqu'au delà de la limite tous les chemins ménent à tes yeux.. tous les chemins mènent à la fuite. Nous retrouverons nos chemins, nos idées, puis l'univers. Il y a ton sourire qui se lève, il y a l'ombre et la lumière au milieu de notre trajectoire, oui.. Il fallait choisir une route alors on a choisi la pluie acide à s'en bruler le coeur, pourvu que planent nos esprits.. 

 

"Quand le coeur ne ressent que l'envie d'en finir.."

Samedi 2 janvier 2010 à 23:35

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  `A chaque instant, ils pourraient arriver, ils pourraient nous surprendre.. Enlacés comme ça, ton visage à changé, pendant la nuit mon ange.. (...) Relève toi, ne pleure plus, il faut fuir maintenant.. ne pleure plus, prends les gosses sous le bras, et VAS-T'EN !!.. Oui j'ai envie de toi, comme c'est étrange d'imaginer, c'est peut-être la dernière fois.. Oui, je veux te suivre tout là-haut encore, une dernière fois.. Mon amour je garderai cette nuit, dans le ventre.. Et tes seins sous ta chemise, qui dessinaient.. ta respiration.. Et mes mains sur ta peau.. Tu sais mon ange, je garderai ces moments dans le coeur, quand tu hurlais pour rien, au bonheur.. Mon dieu tu étais belle.. La mort ne fais plus peur, comme j'ai de la chance de partir amoureux de toi !.. De chacune de plaies, coulera.. notre amour..` cali

 

 

Le vide, le néant.. Le mal, tout se mélange.. La crasse sans est allée, elle ne reviendra plus, NON ! Elle ne reviendra plus.. Le mal, lui, règne.. Il siège depuis peu sur le trône. Il à bouffer cette crasse, et la remplacer par un vide absolu.. La boule au ventre est présente.. Qu'elle s'en aille !!  Le coeur bat, les pulsations s'accélèrent.. Les yeux frétillent, le sourire fais place.. Le changement, la vie, l'alcool, les soirées, le sexe, les guitares noires, les rangers aux pieds, les gens, OUI ! ces putain de gens, leur regards, leur méfiance, leur ignorance, le sexe, oui de nouveau le sexe, la joie, ses caresses, ses mains, son regard.. Le rire, ahh oui le rire, les moqueries, les injures, les conneries, les gens, oui ! toujours ces putain de gens. Le mensonge, le besoin du mal, le réconfort, et encore le mensonge.. Les questions incessantes, la boule au ventre est toujours là. Le sexe, la vie.. CONNERIE !! Banalité mensongère, bêtise humaine, trahison, amour et réconfort.. Sottise ! Besoin de retour en arrière, se voilé la face, aller de l'avant, faire du mal.. Oui, toujours le mal ! Hurler, besoin d'aide, les gens sont sourds.. Les pulsations du coeur se font de plus en plus présentes, la crasse noire est enfouis derrière le mal.. QU'ELLE REVIENNE ! Souffrance intenable, la garce l'emprisonne.. Le regard se perd, le sang ne coule plus, vide, vider de tout, vider pour elle. L'attente se fait lourde, trop lourde.. Les mensonges ne suffisent plus, la trahison est mise en place. Trop tard ? I HOPE NOT.. Putain, c'est quoi le chemin.. La folie, dis-moi quand ça fini ? 

Samedi 2 janvier 2010 à 23:34

PART ONE : U-turn... Musique dans les oreilles, ne pensant qu'à l'Homme.. L'Homme avec ce "H" que toutes les nana cherchent désespérément, et qui finalement, ne le trouve jamais. Je l'ai trouvé. Je pensais, pour moi, minable gamine au cheveux violet. . . Oui moi, je l'avait. Un homme charmant, qui suffisais d'un regard pour combler mon coeur. C'est toi Mikhael.. oui toi. C'est toi l'homme que tout le monde cherche, l'homme qu'on attend toute sa vie, qui parfois te souri, et d'autre fois te bousille. Oui c'est toi. Je ne pouvais pas te laisser partir cette fois ci. Je me serai fait beaucoup plus de mal que toi.. Je n'aurais pas su vivre, je ne sais plus vivre, et je ne vivrai plus si tu n'es plus la. Je ne serais plus vivante, il ne resterai plus que mon coeur, pour faire office de porte crasse noir, pour contempler le peuple, et subir les connerie des autres. Plus de vie, plus de pensé, plus de joie, plus d'amis, plus de sentiment, plus de peur et surtout.. plus de bonheur. Les larmes couleraient, elle seraient épuisé, et le sang continuerait à couler. Lui, est épuisable, la crasse noir, elle, non ! Un dégoût continue, un sourire pour contempler le peuple encore une fois. Ce dégoût, je l'ai encore.. Je ne pense qu'a ça. A ce mal que tu m'a fait. Mais où est dont passé la dose d'héroïne que je recevais quand tu me souriais.. Où sont donc passer les frissons qui parcourait mon corps quand tu me disais un simple "je t'aime".. Tout ça.. je ne pense qu'à ça.. ce mal, alors que je ne voulais qu'une chose, retrouvé un amour perdu dans ton coeur. J'ai cru en toi, je me suis bouffée pour arriver a re-remplir ton coeur de joie et de bonheur. J'ai cru en toi, j'ai cru en nous.. Un confiance longue à acquérir, et finalement une confiance pour perdue, inutile, insensée.. et pourtant je t'aime. Un amour à en pleurer tout les soirs, à pleurer de dégoût de la glas de ma salle de bain, parce que je t'avais dit des choses qui t'ont fait du mal.. Je me suis bouffer parce que je t'avais fait mal. Et tu n'a rien trouver de mieux que de te venger en me détruisant encore.. Je ne méritait plus ça. A pleurer de manque. Pourtant je t'aime, ma vie ne tourne qu'atour de toi, et ça, depuis tellement longtemps. Seulement tu t'en rend compte trop tard. Ce dégoût éternelle pour un Homme avec ce fameux "H". Domage.. Tu avais réussi à enlever cette crasse noire, et tout ça à l'aide de mensonges.. Quand la vérité retombe, la crasse noire revient.. Encore plus forte. Ce n'est plus de l'amour, et ça depuis bien longtemps.. Non! C'est plus fort que ça. BEAUCOUP PLUS FORT. Je me bouffe, je me bouffe pour ne plus faire la moindre erreur. Pourtant je t'aimais.. Je ne comprend pas. Je ne comprend plus. Et je ne comprendrai jamais.. Tes mensonges m'avait aidée à faire partir cette crasse.. Et pourtant, ce n'était que des mensonges..

 

 

PART TWO : Jour heureux, jour malheureux. Pleure, rire, mensonge, sourire.. L'histoire se finit bien, malgré le mal qui l'entour. Et pourtant je l'aime. Les mensonges disparaissent, et le mal s'évaporent. Le sourire s'installe, mais la souffrance sur les mots commence à peser. La crasse noire, elle, ne cesse de monter. Et pourtant je l'aime. L'histoire ce termine bien.. se termine, mais ce n'est que le commencement... 

 

 

 

ME NEITHER..I'LL KILL HER !

Samedi 2 janvier 2010 à 23:32

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TELL ME AND FUCK ME..

 

Samedi 2 janvier 2010 à 23:29

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"Everybody's gotta live, and everybody's gunna die. Everybody's gotta live, I think you know the reason why. Sometimes the going gets so good. Then again it gets pretty rough. But when i have you in my arms baby, You know i just cant, i just cant get enough. Everybody's gotta live, and everybody's gunna die. Everybody's gunna have a good time. I think you, i think you know the reason why. Somebody was standing on the corner yesterday baby. He couldn't hardly tie his shoes. but he had a harmonica and a kirsch wrapped around his neck, and he sure could. sure could play it good.Everybody's gotta live, and everybody's gunna die. Everybody's gunna have a good time. I think you know the reason why. I feel like Ive seen just about a million sunsets. She said if your with me ill never go away. That's when i stopped and took another look at my baby. She said if your with me ill never go away. Everybody's gotta live, and everybody's gunna die. Everybody's gotta live, Before you know the reason why. I had a dream the other night baby. I dreamt that i was all alone. But when i woke up i took another look around my self, and i was surrounded by fifty million songs. Everybody's gotta live, and everybody's gunna die. Everybody's gotta live, I think you know the reason why."

 

 

 

Arthur & Love... 

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